Jean de Mas Latrie
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Naissance | Paris 7e |
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Décès | (à 34 ans) Rebais |
Sépulture | Jouarre |
Nom de naissance | Jean Marie Pierre Xavier de Mas Latrie |
Nationalité | Française |
Domiciles | Rouen (- |
Formation | |
Activités | Escrimeur, pentathlète |
Parentèle | Louis de Mas Latrie (grand-père paternel) Jacques Marie Armand de Mas-Latrie (oncle) |
Grade militaire | Capitaine |
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Conflit | |
Taille | 1,71 m |
Cheveux | Cheveux blonds |
Yeux | |
Sport | |
Distinctions | Liste détaillée Officier d'Académie () Chevalier de la Légion d'honneur () Croix de guerre 1914-1918 Mort pour la France |
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Jean de Mas Latrie, né le à Paris 7e[1] et mort pour la France le à Rebais, est un escrimeur et pentathlète moderne français.
Biographie
Jean de Mas Latrie fait ses études à l'École spéciale militaire de Saint-Cyr (promotion « Marchand » 1898-1900).
Il est lieutenant au 7e régiment de chasseurs à cheval à Rouen en 1908[2]. En 1911 et 1912, il est domicilié au no 16 rue Dufay[3],[4].
Il participe à l'épreuve de sabre individuel aux Jeux olympiques de 1908 et à l'épreuve de pentathlon moderne aux Jeux olympiques de 1912. Il est nommé officier d'Académie en 1912[5].
En 1913, il est promu capitaine au 13e régiment de chasseurs à cheval[6].
Capitaine au 15e régiment de chasseurs à cheval pendant la Première Guerre mondiale, il est détaché à la mission britannique comme officier de liaison. Il est tué dans son automobile, à l’entrée de Rebais, par une balle allemande[7]. Mort pour la France, il est fait chevalier de la Légion d'honneur et reçoit la croix de guerre. Il est inhumé dans le cimetière militaire du château de Perreuse à Jouarre.
Il est le petit-fils de Louis de Mas Latrie et le neveu de Jacques Marie Armand de Mas-Latrie.
Distinctions
- Officier d'Académie ()
- Chevalier de la Légion d'honneur (1919)
- Croix de guerre –, étoile de vermeil
Annexes
Références
- ↑ Au no 6 rue Saint-Dominique.
- ↑ Archives de Paris, D4R1 1020, fiche matricule 745.
- ↑ Archives départementales de Seine-Maritime, Recensement de 1911, Rouen 6e canton.
- ↑ « La garnison de Rouen », Journal de Rouen, 2 janvier 1912.
- ↑ Le Figaro, 29 avril 1912.
- ↑ « Dans le 3e corps d'armée », Journal de Rouen, 25 décembre 1913.
- ↑ Historique de la gendarmerie : Guerre de 1914-1918, Paris, Henri-Charles Lavauzelle, , 104 p., p. 83.
Liens externes
- Ressources relatives au sport :
- CIO
- Olympedia
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