Jomo Kwame Sundaram

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Jomo Kwame Sundaram
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (71 ans)
Nationalité
malaisienneVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activités
Économiste, professeur d'université, écrivainVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Distinction

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Jomo Kwame Sundaram, né le , est un économiste et personnalité publique malaisienne.

Jeunesse et études

Nommé d'après deux dirigeants africains anti-coloniaux, Jomo est né à Penang, en Malaisie, peu de temps après que le premier président kenyan Jomo Kenyatta a été incarcéré par les Britanniques à la fin de 1952 et des années après que le premier président ghanéen Kwame Nkrumah soit secrétaire du Congrès panafricain.

Après le lycée militaire en Malaisie, Jomo est parti aux États-Unis en 1970 après avoir eu une place à l'université Yale, et puis à l'université Harvard pour son master et doctorat.

Carrière

Après ses études Jomo est rentré en Malaisie pour enseigner à l'université de Malaya. Il exprimait ses opinions globalement hérétiques, pour lesquelles il est devenu connu, notamment à propos de la corruption, la copinage et l’inégalité, de manière que il a été poursuivi du milliardaire et homme d’affaires malaisien Vincent Tan.

Jomo travaillait au Département des affaires économiques et sociales à l’Organisation des Nations unies à New York depuis 2005, où il demeura pour huit ans avant de travailler à L’Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture à Rome, Italie[1].

Jomo a été rapatrié en Malaisie en 2015, où il travaille pour l'institut du recherche du Khazanah Nasional Berhad, le fonds souverain du gouvernement malaisien. En mai 2018 il a été sélectionné pour rejoindre le conseil du nouveau gouvernement, ce qui a remplacé le gouvernement qui n'avait jamais perdu le pouvoir depuis l'indépendance vis-à-vis des Britanniques en août 1957.

Il est membre du Comité de conseil scientifique (CCS) du programme MOST, le programme intergouvernemental de l’UNESCO dédié aux transformations sociales[2].

Œuvres récentes en anglais

  • Avec Vitas Rawal et Michael T. Clark, Mettre fin à la malnutrition : de l'engagement à l'action, FAO, 2015.
  • Avec Oliver Schwank et Rudiger von Arnim, La mondialisation et développement en Afrique subsaharienne, Nations unies, 2013.
  • Avec Anis Chowdhury, La pauvre pauvreté : l'appauvrissement de l'analyse, de la mesure et des politiques, Nations unies, 2011.

Références

  1. Jomo Kwame Sundaram et Michael T. Clark, « La « bonne gouvernance » est-elle indispensable au développement ? », sur lemonde.fr, (consulté le )
  2. « Comité de conseil scientifique (CCS) de MOST », sur unesco.org (consulté le )

Liens externes

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    • WorldCat
  • « Les économies convergeront-elles? », sur Rencontres Economiques d'Aix-en-Provence… (consulté le )
  • (en) « ’Absolutely no reason’ why Malaysia can’t be bolder in fiscal spending, says expert » [vidéo], sur CNBC, (consulté le )
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