Marie-Amélie d'Autriche (1746-1804)

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Marie-Amélie d'Autriche
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Portrait de l'archiduchesse Marie-Amélie d'Autriche par Martin van Meytens, années 1760.

Titre

Duchesse de Parme et de Plaisance


(33 ans, 2 mois et 20 jours)

Données clés
Prédécesseur Louise-Élisabeth de France
Successeur Adam Albert de Neipperg
Biographie
Dynastie Maison de Habsbourg-Lorraine
Naissance
Vienne (Archiduché d'Autriche)
Décès (à 58 ans)
Prague (Royaume de Bohême)
Sépulture Crypte des Capucins
Père François Ier du Saint-Empire
Mère Marie-Thérèse d’Autriche
Conjoint Ferdinand Ier de Parme
Enfants Caroline de Bourbon-Parme
Louis de Bourbon-Parme
Marie-Antoinette de Bourbon-Parme
Charlotte de Bourbon-Parme
Philippe Marie de Bourbon-Parme
Religion Catholicisme romain

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Marie-Amélie Josèphe Jeanne Antoinette de Habsbourg-Lorraine, née à Vienne le 26 février 1746 et morte à Prague le 18 juin 1804, est une archiduchesse d'Autriche, princesse de Bohême et de Hongrie. Elle est l'épouse de Ferdinand Ier, duc de Parme, de Plaisance et de Guastalla. Elle est l'un des 16 enfants qu'auront Marie-Thérèse d'Autriche et François Ier .

Biographie

Jeunesse

L'archiduchesse Marie-Amélie est le huitième enfant de l'empereur François Ier et de l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche. Considérant qu'il n'existait pas de princes de la génération de ses filles aînées compatibles, l'impératrice les croyait condamnées au célibat. L'archiduchesse grandit à la cour de Vienne, entre la Hofburg et le château de Schönbrunn. Durant sa jeunesse, elle est fort appréciée par le peuple et est considérée comme étant très séduisante. L'archiduchesse est un peintre de talent, possède une jolie voix de soprano léger et écrit de charmants poèmes.

Née à la fin de la guerre de Succession d'Autriche, alors que le pouvoir de Marie-Thérèse est affermi, son prestige affirmé et sa dynastie consolidée par la naissance de trois fils, elle est élevée dans l'ombre de ses sœurs, promises à de plus brillants destins. L'impératrice n'a jamais de cesse de comparer Marie-Amélie à ses aînées, notamment Marie-Christine surnommée « Mimi », à laquelle l'impératrice montre ouvertement sa préférence, et Marie-Élisabeth dont la beauté est célèbre, ce qui génère des relations difficiles entre l'archiduchesse et sa mère.

Marie-Amélie trouve un réconfort affectif dans la présence de ses sœurs cadettes bien plus jeunes qu'elles, puisque née entre 1750 et 1755, ce qui l'empêchera d'acquérir une véritable maturité. De plus, elle est parvenue à l'âge du mariage lors de la guerre de Sept Ans, ce qui, réduisant ses chances de trouver un époux, lui apporte de nouvelles frustrations.

Décès de l'empereur

Elle perd son père en 1765. Celui-ci s'éteint brusquement à Innsbruck au cours des fêtes célébrant le mariage de son fils cadet Pierre-Léopold avec Marie-Louise d'Espagne. En effet, le renversement des alliances de 1756 a amorcé la réconciliation entre les Maisons d'Habsbourgs et Bourbons. Déjà en 1760, le frère de Marie-Amélie, l'archiduc héritier Joseph, successeur de leur père François Ier, avait épousé Isabelle de Parme, petite-fille de Louis XV et de Philippe V. Les soeurs cadettes de l'archiduchesse sont alors fiancées au roi de Naples et de Sicile.

Les archiduchesses Marie-Jeanne et Marie-Josèphe étant décédées en 1762 et 1767, Marie-Caroline, 15 ans, épousa Ferdinand Ier en 1768, tandis que la benjamine Marie-Antoinette, 13 ans, était promise à Louis-Auguste de France. Entre temps, Marie-Christine, profitant du désarroi de sa mère, lui avait fait promettre de ne pas la marier contre son gré et de pouvoir épouser l'homme qu'elle aime, un prince cadet de la Maison de Saxe : Albert de Saxe-Teschen. À 22 ans, l'archiduchesse Marie-Amélie semble destinée à l'état de vieille fille.

Alliance avec les Bourbons

En 1762, l'archiduchesse Marie-Jeanne Gabrielle, sœur cadette de Marie-Amélie, meurt. Âgée de 12 ans, celle-ci était promise au fils cadet du roi Charles III d'Espagne, Ferdinand Ier, qui en avait alors 11. L'impératrice, toute à son alliance avec les Bourbons, souhaitait que Marie-Amélie prît la place de sa sœur, mais le roi d'Espagne trouva la différence d'âge entre son fils et l'archiduchesse trop importante. En effet, Marie-Amélie avait 5 ans de plus que le jeune souverain napolitain.

L'impératrice proposa alors l'archiduchesse Marie-Josèphe, du même âge que Ferdinand, mais la jeune fille contracta la variole et mourut peu avant son départ. L'impératrice, ne s'étant jamais laissée abattre par les coups du sort, maria l'année suivante, en 1768, l'archiduchesse Marie-Caroline, autre sœur cadette de Marie-Amélie au souverain napolitain. L'accord qui devait marier la plus jeune des filles de l'impératrice, Marie-Antoinette, à l'héritier du trône de France fut conclu en 1769.

Un amour de jeunesse

Ses sœurs cadettes ayant été mariées avant l'âge de 16 ans, Marie-Amélie reste la seule des filles de l'impératrice encore célibataire à l'âge de 22 ans. Faute d'un époux, Marie-Amélie risque de devoir, comme sa tante Anne-Charlotte de Lorraine ou ses sœurs aînées Marie-Anne, légèrement handicapée, ou Marie-Élisabeth, enlaidie par la variole, devenir abbesse d'un chapitre de chanoinesses nobles. Considérée comme une jolie femme pleine de vivacité et appréciée des Viennois, l'archiduchesse a rencontré un homme de son âge avec qui elle connaît un sentiment partagé : le jeune et attrayant Charles-Auguste, prince héritier du duché de Deux-Ponts. Elle voudrait comme sa sœur Marie-Christine épouser l'homme qu'elle aime.

Si Marie-Thérèse et son fils apprécient le jeune prince, ils considèrent avec leur principal ministre, le chancelier Kaunitz qu'une telle union serait indigne d'une archiduchesse : le prince est destiné à régner sur une minuscule principauté rhénane aux confins de l'Empire et de la France. Il ne fait même partie du Collège Électoral. Pire encore, il n'est pas catholique. Ses espérances de succéder à ses lointains cousins l'Électeur de Palatinat et l'Électeur de Bavière ne sont pas établies. Le mariage est donc refusé. Les deux jeunes gens en garderont une profonde rancune envers l'impératrice et son fils, qui ne sera pas sans conséquence politique. Marie-Amélie sera promise à une union plus prestigieuse.

Un sacrifice d'État

Portrait de Ferdinand Ier de Parme par Giuseppe Baldrighi, entre 1760 et 1769.

Cependant, il reste un souverain Bourbon à marier en la personne de Ferdinand Ier de Parme. Âgé de 17 ans, le jeune duc est le petit-fils du roi de France et le neveu du roi d'Espagne. Orphelin de bonne heure, il règne sous la tutelle de ministres imposés par son grand-père et son oncle. Sa sœur aînée Isabelle, qui lui a servi de mère, a épousé en 1760 Joseph II, le frère de Marie-Amélie. Morte prématurément, elle laisse le jeune empereur, inconsolable. N'ayant pu épouser en secondes noces la sœur cadette d'Isabelle et de Ferdinand, l'empereur serait très heureux de voir un nouveau mariage resserrer les liens unissant Parme et Vienne. De plus, veillant aux intérêts de ses États, il sait que si le duché reste sans héritier, celui-ci reviendra à l'Autriche. L'impératrice reste donc fidèle à sa politique d'alliance avec les Bourbons.

Du côté Parmesan, Ferdinand est plus jeune que Marie-Amélie de cinq ans et, d'une grande piété confinant parfois à la bigoterie, il aurait aimé être moine. Il apparaît aux yeux de l'Europe des Lumières comme présentant quelques signes de déséquilibre mental. Guillaume du Tillot, premier ministre de Ferdinand, mis en place par la France et l'Espagne et protégé par le duc de Choiseul, exprime sa préférence pour Marie-Béatrice d'Este, fille du duc de Modène Hercule III d'Este : à la mort de celui-ci, les deux duchés auraient fusionné entre les mains de Ferdinand, donnant ainsi à Parme un accès à la mer et renforçant son indépendance.

Le duc de Choiseul, lui, propose une cousine de Louis XV, Bathilde d'Orléans, particulièrement riche, mais l'Espagne repousse cette proposition. Le consensus se fait donc autour de Marie-Amélie. Elle est désespérée mais ses supplications restent sans effet. Tout à son devoir de souveraine, l'impératrice reste inflexible. De même l'empereur soutient la décision de sa mère. Contre sa volonté, mais dans le cadre de la politique de réconciliation entre Habsbourg-Lorraine et Bourbon, Marie-Amélie est fiancée et mariée à Ferdinand Ier de Parme, petit-fils de Louis XV par sa mère et de Philippe V d'Espagne par son père.

Duchesse de Parme

Portrait de Maire-Amélie Joséphine, archiduchesse d'Autriche, infante, duchesse de Parme par Alexandre Roslin, XVIIIe siècle.

Arrivée à Parme

Le mariage est célébré à Vienne par procuration le . Marie-Amélie quitte l'Autriche le et arrive à Mantoue le 16 juillet accompagnée de son frère, le futur empereur Joseph II. Ferdinand se rend à leur rencontre accompagné du duc Sforza Cesarini et du duc Grillo. Au cours d'une cérémonie, l'évêque confirme le mariage le 19 juillet dans le Palais ducal de Colorno, qui est suivi de réceptions et de spectacles. Le couple ducal rejoint Parme le 24 au matin. Devenue duchesse de Parme et ne subissant plus la tutelle de sa mère, Marie-Amélie ne suit pas les recommandations de se désintéresser de la politique et de suivre les conseils de Guillaume du Tillot, le ministre imposé par la France. En fait, elle veut substituer l'influence autrichienne à celle de la France et de l'Espagne, ce qui inquiète les cours européennes.

Rapidement et en raison de son style de vie qui néglige le protocole ducal, le comportement de Marie-Amélie suscite des scandales dans l'aristocratie européenne : elle emprunte de l'argent à n'importe quel usurier, les gardes du corps participent aux bals et aux jeux. Marie-Thérèse invite Marie-Amélie à réguler ses dépenses et elle insiste pour ne plus donner de fonds à la cour de Parme, mais son fils Joseph s'y opposant, elle arrive à convaincre les cours royales françaises et espagnoles. Marie-Amélie s'oppose au premier ministre Guillaume du Tillot, que le jeune duc également n'apprécie guère. Le ministre est, peu après, destitué de ses fonctions. Quant au duc de Choiseul, son soutien en France, il est exilé le [note 1].

Rupture politique et familiale

Le nouveau ministre, nommé par Charles III d'Espagne, est José Augustin de Llano. Celui-ci ne parvient pas à résoudre les grands désordres de la cour, ce qui finit par mettre fin aux relations entre Parme, l'Espagne et l'Autriche. L'impératrice essaie de se réconcilier avec sa fille en 1773, à l'occasion de la naissance du prince héritier de Parme, mais obtenir sans résultat durable. Lorsqu'en 1775, l'archiduchesse Marie-Christine visite Parme, elle écrit à leur mère que sa sœur a perdu toute sa beauté et sa joie de vivre et qu'elle est impopulaire. Cela dit, Marie-Christine, fille préférée de Marie-Thérèse et dont la seule enfant est morte au berceau alors que ses sœurs, dont Marie-Amélie, sont mères de famille nombreuse, est connue pour sa langue acérée, ses médisances et pour apprécier semer le trouble au sein de sa fratrie. Il semble au contraire que les Parmesans appréciaient beaucoup leur souveraine.

En revanche, Marie-Amélie reste très proche de ses sœurs cadettes : Marie-Caroline, reine de Naples et de Sicile et Marie-Antoinette, reine de France. Elle échangera avec cette dernière une importante correspondance. La dernière lettre écrite par Marie-Antoinette depuis sa prison, et ainsi transmise secrètement, sera d'ailleurs destinée à Marie-Amélie. D'ailleurs la duchesse, contrairement à ses frères et sœurs qui baptisèrent leurs premiers nés des prénoms du couple impérial, donnera comme noms de baptême à ses aînés, affirmant toujours son indépendance vis-à-vis de Vienne, les noms de Caroline, Louis et Marie-Antoinette (en hommage à ses sœurs et à son beau-frère).

Révolution française et fin du duché

Il est facilement concevable que le sort tragique du couple royal de France ait fait de Marie-Amélie, à l'instar de sa sœur, Marie-Caroline, une adversaire acharnée des révolutionnaires français. En 1792, Marie-Amélie et Ferdinand Ier avaient marié leur fille aînée à un prince de Saxe. En 1795, leur fils épouse sa cousine, l'infante Marie-Louise d'Espagne. Bien qu'ayant gardé la neutralité dans la guerre opposant la France à l'Autriche, le duché est occupé par les troupes de Napoléon Bonaparte en 1796 puis en 1801.

Tandis qu'un royaume d'Étrurie est créé de toutes pièces par le futur Napoléon pour le prince héritier de Parme alors en Espagne, Ferdinand meurt en laissant la présidence du conseil de régence à sa femme. On soupçonnera un ministre francophile d'avoir empoisonné le duc. La régence dure peu. Peu après, le , le conseil de régence est dispersé par les troupes françaises et le duché annexé. Marie-Amélie et sa famille partent pour l'Autriche. Elle meurt en 1804 à Prague quelques mois après sa fille aînée et son fils, le roi d'Étrurie.

Enfants

De son union, le couple ducal eut neuf enfants, dont quatre survivent à l'enfance :

Ascendance

Ascendance de Marie-Amélie d'Autriche (1746-1804)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
32. François II de Lorraine
 
 
 
 
 
 
 
16. Nicolas-François de Lorraine
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
33. Christine de Salm
 
 
 
 
 
 
 
8. Charles V de Lorraine
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
34. Henri II de Lorraine
 
 
 
 
 
 
 
17. Claude-Françoise de Lorraine
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
35. Marguerite de Mantoue
 
 
 
 
 
 
 
4. Léopold Ier de Lorraine
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
36. Ferdinand II du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
18. Ferdinand III du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
37. Marie-Anne de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
9. Éléonore d'Autriche
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
38. Charles II de Nevers-Mantoue
 
 
 
 
 
 
 
19. Éléonore de Nevers-Mantoue
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
39. Marie de Mantoue
 
 
 
 
 
 
 
2. François Ier du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
40. Henri IV de France
 
 
 
 
 
 
 
20. Louis XIII de France
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
41. Marie de Médicis
 
 
 
 
 
 
 
10. Philippe d'Orléans
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
42. Philippe III d'Espagne
 
 
 
 
 
 
 
21. Anne d'Autriche
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
43. Marguerite d'Autriche-Styrie
 
 
 
 
 
 
 
5. Élisabeth-Charlotte d'Orléans
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
44. Frédéric V du Palatinat
 
 
 
 
 
 
 
22. Charles Ier Louis du Palatinat
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
45. Élisabeth Stuart
 
 
 
 
 
 
 
11. Élisabeth-Charlotte de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
46. Guillaume V de Hesse-Cassel
 
 
 
 
 
 
 
23. Charlotte de Hesse-Cassel
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
47. Amélie-Élisabeth de Hanau-Münzenberg
 
 
 
 
 
 
 
1. Marie-Amélie de Habsbourg-Lorraine
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
48. Ferdinand II du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
24. Ferdinand III du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
49. Marie-Anne de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
12. Léopold Ier du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
50. Philippe III d'Espagne
 
 
 
 
 
 
 
25. Marie-Anne d'Autriche
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
51. Marguerite d'Autriche-Styrie
 
 
 
 
 
 
 
6. Charles VI du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
52. Wolfgang-Guillaume de Neubourg
 
 
 
 
 
 
 
26. Philippe-Guillaume de Neubourg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
53. Madeleine de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
13. Éléonore de Neubourg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
54. Georges II de Hesse-Darmstadt
 
 
 
 
 
 
 
27. Élisabeth-Amélie de Hesse-Darmstadt
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
55. Sophie-Éléonore de Saxe
 
 
 
 
 
 
 
3. Marie-Thérèse d'Autriche
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
56. Auguste II de Brunswick-Wolfenbüttel
 
 
 
 
 
 
 
28. Antoine-Ulrich de Brunswick-Wolfenbüttel
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
57. Dorothée d'Anhalt-Zerbst
 
 
 
 
 
 
 
14. Louis-Rodolphe de Brunswick-Wolfenbüttel
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
58. Frédéric de Schleswig-Holstein-Norbourg
 
 
 
 
 
 
 
29. Élisabeth-Julienne de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Norbourg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
59. Éléonore d'Anhalt-Zerbst
 
 
 
 
 
 
 
7. Élisabeth-Christine de Brunswick-Wolfenbüttel
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
60. Joachim-Ernest d'Oettingen-Oettingen
 
 
 
 
 
 
 
30. Albert-Ernest Ier d'Oettingen-Oettingen
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
61. Anne-Dorothée de Hohenlohe-Waldenbourg
 
 
 
 
 
 
 
15. Christine-Louise d'Oettingen-Oettingen
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
62. Eberhard VII de Wurtemberg
 
 
 
 
 
 
 
31. Christine-Frédérique de Wurtemberg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
63. Anne-Catherine de Salm-Kyrbourg
 
 
 
 
 
 
 

Notes et références

  1. Différentes dates sont évoquées, le 24 décembre 1770, parfois 1770, parfois 1771.
  2. Ne pas confondre avec l'ordre de Sainte-Ursule, fondé par Angèle Merici

Voir aussi

Bibliographie

  • Tableau généalogique de la Maison de Bourbon de Bernard Mathieu et d'André Devèche, édition de La Tourelle (1984).
  • Parma e Vienna, Adele Vittoria Marchi, édition Artegrafica Silva Parma (1988).

Articles connexes

Liens externes

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