Michel d'Ornano

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Michel d’Ornano
Illustration.
Michel d'Ornano lors d'une réunion publique de l'UDF.
Fonctions
Ministre de la Culture et de la Communication

(2 mois et 18 jours)
Président Valéry Giscard d'Estaing
Premier ministre Raymond Barre
Gouvernement Barre III
Prédécesseur Jean-Philippe Lecat
Successeur Jack Lang
Ministre de l'Environnement et du Cadre de vie

(3 ans, 1 mois et 21 jours)
Président Valéry Giscard d'Estaing
Premier ministre Raymond Barre
Gouvernement Barre III
Prédécesseur Lui-même (Culture et Environnement)
Successeur Michel Crépeau
Ministre de la Culture et de l'Environnement

(1 an et 2 jours)
Président Valéry Giscard d'Estaing
Premier ministre Raymond Barre
Gouvernement Barre II
Prédécesseur Françoise Giroud
Successeur Jean-Philippe Lecat (Culture)
Ministre de l'Industrie

(2 ans, 9 mois et 15 jours)
Président Valéry Giscard d'Estaing
Premier ministre Jacques Chirac
Raymond Barre
Gouvernement Chirac I
Barre I
Prédécesseur Yves Guéna
Successeur René Monory
Député français

(2 ans, 8 mois et 13 jours)
Élection 12 juin 1988
Circonscription 4e du Calvados
Législature IXe (Cinquième République)
Groupe politique UDF
Prédécesseur Élection à la proportionnelle
Successeur Nicole Ameline

(2 ans, 1 mois et 12 jours)
Élection 16 mars 1986
Circonscription Calvados
Législature VIIIe (Cinquième République)
Groupe politique UDF

(4 ans, 8 mois et 30 jours)
Élection 14 juin 1981
Circonscription 3e du Calvados
Législature VIIe (Cinquième République)
Groupe politique UDF
Prédécesseur Jacques Richomme
Successeur Proportionnelle par département

(1 mois et 3 jours)
Élection 19 mars 1978
Circonscription 3e du Calvados
Législature VIIe (Cinquième République)
Groupe politique UDF
Prédécesseur Jacques Richomme
Successeur Jacques Richomme

(7 ans, 2 mois et 26 jours)
Élection 12 mars 1967
Réélection 30 juin 1968
4 mars 1973
Circonscription 3e du Calvados
Législature IIIe, IVe et Ve (Cinquième République)
Groupe politique RI
Prédécesseur André Plantain
Successeur Jacques Richomme
Président du Conseil général du Calvados

(12 ans)
Prédécesseur Robert Bisson
Successeur Anne d'Ornano
Maire de Deauville

(14 ans, 3 mois et 16 jours)
Prédécesseur Robert Fossorier
Successeur Anne d'Ornano
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance 8e arrondissement de Paris
Date de décès (à 66 ans)
Lieu de décès Garches, France
Nationalité française
Parti politique RI (1967-1978)
UDF (1978-1991)
Conjoint Anne de Contades
Enfants Catherine d'Ornano
Jean-Guillaume d'Ornano
Famille Famille d'Ornano

Michel d'Ornano
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Michel d'Ornano, né le à Paris et mort le à Garches[1],[2], est un homme politique français.

Biographie

Issu d'une famille noble d'ancienne extraction (1470), descendant de Marie Walewska et du maréchal d'Ornano, apparenté à la famille impériale, fils de Guillaume d'Ornano (1894-1985), cofondateur des parfums Lancôme, Michel d'Ornano commence, après une scolarité au lycée Carnot et des études de droit, une carrière d'industriel du parfum, avec son père et son frère, Hubert, en créant la société Jean d’Albret-Orlane.

Il s'engage en politique en 1962 en accédant à la mairie de Deauville, lieu de villégiature de ses parents. Il devient ensuite député de 1967 à 1991 et laissera son siège à son suppléant Jacques Richomme lorsqu'il sera nommé au gouvernement. Il sera aussi membre (1976) et président (1979) du conseil général du Calvados, et enfin président du conseil régional de Basse-Normandie (1983) dont il a été éphémèrement le premier en 1974 avant d'être nommé ministre. La région lui doit alors la desserte Paris-Caen-Cherbourg par turbotrain, l'implantation de l'accélérateur de particules GANIL à Caen et la construction de l’autoroute de Normandie, ainsi que le Festival du cinéma américain de Deauville.

Surnommé le « Duc de Normandie », il crée autour de lui un clan qui fait de lui l'homme fort de la Basse-Normandie pendant 30 ans. Il installe sa femme, Anne d'Ornano, à la mairie de Deauville en 1977, parraine les engagements politiques locaux comme ceux de son suppléant à l'Assemblée Nationale de 1974 à 1981 Jacques Richomme à Troarn. Frappé par le cumul des mandats, il propose en 1986 la présidence de région à René Garrec. À sa mort en 1991, sa suppléante Nicole Ameline devient députée, tandis que sa femme reprend la présidence du conseil général du Calvados.

Sur le plan national, il est un ami fidèle de Valéry Giscard d'Estaing. Il fonde avec ce dernier les Républicains indépendants (RI), puis adhère à l’UDF. Il est son directeur de campagne pour l'élection présidentielle de 1974[3]. Cela lui vaudra d'être ministre durant toute la présidence de celui-ci, aux portefeuilles successivement de l'Industrie et de la Recherche, des Affaires culturelles, et de l'Environnement et du cadre de vie.

Au ministère de l'Industrie, il met en place le programme du nucléaire civil en France. Il persuadera Valéry Giscard d'Estaing du bien fondé du programme Ariane Espace qui verra le jour grâce à son action et celle de son directeur de cabinet de l'époque Jacques Darmon.

Pour les élections municipales de 1977, Michel d'Ornano est désigné par Valéry Giscard d'Estaing en novembre 1976 candidat à la mairie de Paris. Deux mois plus tard, Jacques Chirac, se déclarera à son tour sous les couleurs du tout nouveau RPR[4]. Ce premier duel entre RPR et Républicains indépendants préfigurera celui en 1981 entre Jacques Chirac et Valéry Giscard d'Estaing. Michel d'Ornano arrête son choix sur le 17e arrondissement, acquis depuis toujours à la droite, dans lequel il affronte le docteur Bernard Lafay, sénateur RPR de l’arrondissement âgé de 73 ans, qui meurt d'une crise cardiaque au cours de la précampagne électorale. Dans un geste élégant, Michel d'Ornano se désiste en faveur de Philippe Lafay, fils du défunt sénateur, et se présente dans le 18e, fief acquis à la gauche. Il est battu sans surprise par la liste de gauche conduite par le député communiste Louis Baillot, sur laquelle figurent Lionel Jospin et Claude Estier.

En , alors qu'il est ministre de la Culture, il fait censurer 17 films à la Quinzaine du cinéma homosexuel dont Un chant d'amour de Jean Genet[5]. Par ailleurs, il double les crédits d'équipement des musées et fera voter la transformation de la gare d'Orsay en musée d'Orsay dans la loi de programme de 1978[6].

Lors de la première cohabitation, le chef du gouvernement Jacques Chirac refuse à Valéry Giscard d'Estaing le poste de ministre de l'Économie et des Finances et lui propose à la place le ministère de la Justice, qu'il décline. Chirac propose alors à d'Ornano la Justice, qu'il refuse à son tour, en expliquant à Chirac qu'il y a « deux raisons. Je ne veux pas de compensation au fait que Giscard ne rentre pas dans le gouvernement. Et je sais bien qu'il n'y aura pas de partage des responsabilités dans ce gouvernement, puisque tu as pris pour ton parti, le RPR, les Finances, l'Intérieur, les Affaires étrangères, c'est-à-dire les trois postes de commande, ce qui ne s'est jamais vu sous la droite au cours de la Ve République »[7].

Il a également été vice-président de la Socpresse.

Le , à Saint-Cloud, en sortant du café « Le Cloud de cœur » où il avait rendez-vous avec Robert Hersant, il est renversé par une camionnette de livraison. Il meurt peu après à l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches[8],[9].

En 2017, Anne d'Ornano fait don de ses archives politiques personnelles et de celles de son mari aux archives départementales du Calvados[10].

Mandats politiques

Fonctions ministérielles

Ouvrages

  • Une certaine idée de Paris (1976)
  • La Manipulation des médias (1983)

Dans la fiction

Hommages

Le stade de la ville de Caen porte son nom depuis son inauguration le , en hommage à son grand rôle dans ce projet en tant que président du conseil général du Calvados.

La ville de Caen a également donné le nom de l'ancien ministre au Parc Michel-d'Ornano aménagé dans les jardins de l'abbaye aux Dames, siège du Conseil régional de Normandie.

En 2011, en présence de l'ancien président Valéry Giscard d'Estaing, une cérémonie est organisée afin de dévoiler, dans le hall de la mairie de Deauville, deux bustes à l'effigie de Michel et Anne d'Ornano[11].

Notes et références

  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. « humanite.fr/1991-03-09_Article… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  3. Raphaël Proust, « 1974, Giscard peopolise la campagne de la droite », slate.fr, 18 avril 2012.
  4. Jean Tiberi, « 1977, Chirac conquiert Paris », sur vsd.fr, (consulté le )
  5. Hexagone Gay, « Paris - années 70 », sur hexagonegay.com (consulté le ).
  6. « Michel d'Ornano », sur www.culture.gouv.fr (consulté le )
  7. Favier, Pierre, (1946- ...)., La décennie Mitterrand. 2, Les épreuves : 1984-1988, Paris, Editions Points, dl 2016, cop. 1991, 962 p. (ISBN 978-2-7578-5799-1 et 2757857991, OCLC 941084320, lire en ligne)
  8. « Il y a 20 ans disparaissait Michel d'Ornano... - L'essentiel de l'actualité sur Caen et le Calvados avec Nostalgie », sur canalblog.com, (consulté le ).
  9. « Archives - lesoir.be », sur lesoir.be, (consulté le ).
  10. « 9 juin 2018. Journée internationale des Archives. Les Femmes à l’honneur ! Anne d’Ornano fait don de ses archives », sur calvados.fr, (consulté le ).
  11. « Deauville. En 2011, Valéry Giscard d’Estaing rendait hommage à Michel Ornano », sur Ouest France, (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

  • Ressources relatives à la vie publiqueVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Documents diplomatiques suisses 1848-1975
    • Base Sycomore
  • Ressource relative à la rechercheVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Persée
  • Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généralisteVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Munzinger
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • ISNI
    • BnF (données)
    • IdRef
    • LCCN
    • GND
    • WorldCat
  • Inventaire des archives d'Anne et Michel d'Ornano sur le site des Archives départementales du Calvados
v · m
Gouvernement Jacques Chirac I ()
Sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing
Intérieur
Michel Poniatowski, ministre d'État
Secrétaire d'État (6) : Pierre-Christian Taittinger (6)

Jacques Chirac
Premier ministre
(en 1980)
Justice, garde des sceaux
Jean Lecanuet puis ministre d'État (6)
Secrétaire d'État à la Condition pénitentiaire : Hélène Dorlhac
Défense
Jacques Soufflet (dém) (5) puis Yvon Bourges (5)
Secrétaire d'État (5) puis supprimé (8) : Marcel Bigeard (5) puis (dém) (8)
Réformes puis supprimé (1) Jean-Jacques Servan-Schreiber (dém) (1)
Affaires étrangères
Jean Sauvagnargues
Secrétaire d'État : Bernard Destremau
Secrétaire d'État (6) puis supprimé (7) : Jean François-Poncet (6) puis (dém) (7)
Économie et Finances
Jean-Pierre Fourcade
Secrétaire d'État au Budget : Christian Poncelet
Secrétaire d'État à la Consommation (6) : Christiane Scrivener (6)
Éducation
René Haby
Secrétaire d'État à l'Enseignement préscolaire puis supprimé (6) : Annie Lesur (dém) (6)
Coopération Pierre Abelin (dém) (6) puis Jean de Lipkowski (6)
Équipement
Robert Galley
Secrétaire d'État au Logement : Jacques Barrot
Agriculture
Christian Bonnet
Secrétaire d'État (5) : Jean-François Deniau (5) puis (dém) (6) puis Pierre Méhaignerie (6)
Secrétaire d'État aux Industries alimentaires (6) (double tutelle) : Jean Tiberi (6)
Qualité de la vie
André Jarrot (dém) (6) puis André Fosset (6)
Secrétaire d'État à l'Environnement : Gabriel Péronnet puis poste suspendu (4) puis Paul Granet (6)
Secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports : Pierre Mazeaud
Secrétaire d'État au Tourisme : Gérard Ducray (dém) (6) puis Jacques Médecin (6)
Travail
Michel Durafour
Secrétaire d'État aux Travailleurs immigrés : André Postel-Vinay (dém) (3) puis Paul Dijoud (3)
Secrétaire d'État à la Condition des travailleurs manuels (6) : Lionel Stoléru (6)
Santé
Simone Veil
Secrétaire d'État à l'Action sociale : René Lenoir
Industrie et Recherche
Michel d'Ornano
Secrétaire d'État aux Industries alimentaires (6) (double tutelle) : Jean Tiberi (6)
Commerce et Artisanat Vincent Ansquer
Anciens Combattants Secrétaire d'État : André Bord
Postes et Télécommunications Secrétaire d'État : Pierre Lelong (dém) (5) puis Aymar Achille-Fould (5) puis (dém) (6) puis Norbert Ségard (6)
Transports Secrétaire d'État : Marcel Cavaillé
Culture Secrétaire d'État : Michel Guy
Commerce extérieur Secrétaire d'État puis ministre (5) : Norbert Ségard puis Raymond Barre (6)
Universités Secrétaire d'État : Jean-Pierre Soisson puis Alice Saunier-Seïté (6)
Départements et Territoires d'outre-mer Secrétaire d'État : Olivier Stirn
Secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement : René Tomasini
Secrétaire d'État à la Fonction publique : Roger Poudonson (dém) (4) puis Gabriel Péronnet (4)
Secrétaire d'État à la Formation professionnelle : Paul Granet puis Jean-Pierre Soisson (6)
Secrétaire d'État, porte-parole du Gouvernement : André Rossi
Secrétaire d'État à la Condition féminine (2) : Françoise Giroud (2)
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
  • (6) Remaniement du
  • (7) Ajustement du
  • (8) Ajustement du
( MESSMER III]) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BARRE I )
v · m
Gouvernement Raymond Barre I ()
Sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing
Économie et Finances
Raymond Barre, Premier ministre
Ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de l'Économie et des Finances : Michel Durafour
Secrétaire d'État au Budget auprès du ministre délégué à l'Économie et aux Finances : Christian Poncelet
Secrétaire d'État à la Consommation auprès du ministre délégué à l'Économie et aux Finances : Christiane Scrivener

Raymond Barre
Premier ministre
Justice, garde des sceaux Olivier Guichard, ministre d'État
Intérieur
Michel Poniatowski, ministre d'État
Secrétaire d'État aux Départements et Territoire d'outre-mer : Olivier Stirn
Plan et Aménagement du territoire Jean Lecanuet, ministre d'État
Affaires étrangères
Louis de Guiringaud
Secrétaire d'État : Pierre-Christian Taittinger
Défense Yvon Bourges
Éducation René Haby
Coopération Robert Galley
Équipement
Jean-Pierre Fourcade
Secrétaire d'État aux Transports : Marcel Cavaillé
Secrétaire d'État au Logement : Jacques Barrot
Relations avec le Parlement Robert Boulin
Agriculture
Christian Bonnet
Secrétaire d'État : Pierre Méhaignerie
Travail
Christian Beullac
Secrétaire d'État aux Travailleurs immigrés : Paul Dijoud
Secrétaire d'État à la Condition des travailleurs manuels : Lionel Stoléru
Santé
Simone Veil
Secrétaire d'État à l'Action sociale : René Lenoir
Industrie et Recherche
Michel d'Ornano
Secrétaire d'État (1) : Claude Coulais (1)
Qualité de la vie
Vincent Ansquer
Secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports : Jean-Pierre Soisson
Secrétaire d'État au Tourisme : Jacques Médecin
Commerce et Artisanat Pierre Brousse
Commerce extérieur André Rossi
Postes et Télécommunications Secrétaire d'État  : Norbert Ségard
Anciens Combattants Secrétaire d'État  : André Bord
Culture Secrétaire d'État  : Françoise Giroud
Universités Secrétaire d'État  : Alice Saunier-Seïté
Secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État à la Fonction publique  : Maurice Ligot
Secrétaire d'État  : Antoine Rufenacht
( CHIRAC I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BARRE II )
v · m
Gouvernement Raymond Barre II ()
Sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing
Économie et Finances
Raymond Barre, Premier ministre
Ministre délégué à l'Économie et aux Finances : Robert Boulin
Secrétaire d'État au Budget auprès du ministre délégué à l'Économie et aux Finances : Pierre Bernard-Reymond
Secrétaire d'État à la Consommation auprès du ministre délégué à l'Économie et aux Finances : Christiane Scrivener

Raymond Barre
Premier ministre
Justice, garde des sceaux
Alain Peyrefitte
Secrétaire d'État (4) : Monique Pelletier (4)
Affaires étrangères
Louis de Guiringaud
Secrétaire d'État : Pierre-Christian Taittinger (dém) (3) puis Jean-François Deniau (3)
Intérieur
Christian Bonnet
Secrétaire d'État aux Départements et Territoire d'outre-mer : Olivier Stirn
Secrétaire d'État aux Collectivités locales : Marc Bécam
Défense
Yvon Bourges
Secrétaire d'État puis supprimé (3) : Jean-Jacques Beucler
Coopération Robert Galley
Culture et Environnement
Michel d'Ornano
Secrétaire d'État au Tourisme : Jacques Médecin
Équipement et Aménagement du territoire
Jean-Pierre Fourcade (dém) (3) puis Fernand Icart (3)
Secrétaire d'État au Logement : Jacques Barrot
Secrétaire d'État aux Transports : Marcel Cavaillé
Secrétaire d'État à l'Aménagement du territoire puis supprimé (2) : Paul Dijoud
Éducation René Haby
Agriculture
Pierre Méhaignerie
Secrétaire d'État : Jacques Blanc
Industrie, Commerce et Artisanat
René Monory
Secrétaire d'État : Antoine Rufenacht
Secrétaire d'État : Claude Coulais
Travail
Christian Beullac
Secrétaire d'État : Lionel Stoléru
Secrétaire d'État : Jacques Legendre
Secrétaire d'État chargé de l’Emploi féminin (4) : Nicole Pasquier (4)
Santé et Sécurité sociale
Simone Veil
Secrétaire d'État : René Lenoir
Secrétaire d'État : Hélène Missoffe
Commerce extérieur André Rossi
Postes et Télécommunications Secrétaire d'État  : Norbert Ségard
Anciens Combattants Secrétaire d'État  : André Bord puis Jean-Jacques Beucler (3)
Universités Secrétaire d'État puis ministre (4)  : Alice Saunier-Seïté
Secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports Secrétaire d'État  : Jean-Pierre Soisson (dém) (1) puis Paul Dijoud (2)
Secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement  : Christian Poncelet (dém) (3) puis André Bord (3)
Secrétaire d'État à la Fonction publique  : Maurice Ligot
Secrétaire d'État à la Recherche  : Jacques Sourdille
Secrétaire d'État  : Jacques Dominati
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
( BARRE I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BARRE III )
v · m
Gouvernement Raymond Barre III ()
Sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing
Justice, garde des sceaux
Alain Peyrefitte
Secrétaire d'État : Monique Pelletier puis Jean-Paul Mourot (1)

Raymond Barre
Premier ministre
Santé et Famille
puis Santé et Sécurité sociale (3)
Simone Veil (dém) (3) puis Jacques Barrot (3)
Secrétaire d'État : Daniel Hoeffel puis Rémy Montagne (7)
Secrétaire d'État (3) puis supprimé (12) : Jean Farge (3) puis (dém) (12)
Intérieur
Christian Bonnet
Secrétaire d'État aux Départements et Territoire d'outre-mer : Paul Dijoud
Secrétaire d'État aux Collectivités locales puis supprimé (7) : Marc Bécam non remplacé (7)
Affaires étrangères
Louis de Guiringaud (dém) (2) puis Jean François-Poncet (2)
Secrétaire d'État : Olivier Stirn
Secrétaire d'État : Pierre Bernard-Reymond (1)
Défense Yvon Bourges (dém) (7) puis Joël Le Theule (7) puis Robert Galley (9)
Travail et Participation
Robert Boulin puis Jean Mattéoli (5)
Secrétaire d'État à la Formation professionnelle puis changement de ministre de tutelle (7) : Jacques Legendre
Secrétaire d'État aux Travailleurs manuels et Immigrés : Lionel Stoléru
Secrétaire d'État à l’Emploi féminin : Nicole Pasquier
Coopération Robert Galley
Économie René Monory
Budget Maurice Papon
Environnement et Cadre de vie
Michel d'Ornano
Secrétaire d'État au Logement puis supprimé (7) : Marcel Cavaillé non remplacé (7)
Secrétaire d'État à l'Environnement : François Delmas
Éducation
Christian Beullac
Secrétaire d'État puis supprimé (7) : Jacques Pelletier non remplacé (7)
Universités Alice Saunier-Seïté
Agriculture
Pierre Méhaignerie
Secrétaire d'État : Jacques Fouchier
Industrie
André Giraud
Secrétaire d'État à la Petite et Moyenne Industrie : Jean-Pierre Prouteau
Transports Joël Le Theule puis Daniel Hoeffel (7)
Commerce et Artisanat Jacques Barrot puis Maurice Charretier (3)
Commerce extérieur Jean-François Deniau puis Michel Cointat (7)
Jeunesse, Sports et Loisirs Jean-Pierre Soisson
Culture et Communication Jean-Philippe Lecat (dém) (11) puis Michel d'Ornano (11)
Postes et Télécommunications Secrétaire d'État  : Norbert Ségard puis Pierre Ribes (8)
Anciens Combattants Secrétaire d'État  : Maurice Plantier
Ministres délégués et secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Ministre délégué chargé de la Condition féminine (1) puis ministre délégué chargé de la Famille et de la Condition féminine (6) : Monique Pelletier (dém) (11) puis Alice Saunier-Seïté (11)
Ministre délégué chargé des Réformes administratives (7) : Jean-François Deniau (dém) (11) puis Raymond Barre (11)
Ministre délégué (8) puis supprimé (10) : Norbert Ségard
Secrétaire d'État  : Jacques Dominati
Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement  : Jacques Limouzy
Secrétaire d'État à la Recherche  : Pierre Aigrain
Secrétaire d’État chargé des Industries agricoles et alimentaires (4)  : Michel Debatisse (4)
Secrétaire d'État chargé de la formation professionnelle (7)  : Jacques Legendre
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
  • (6) Remaniement du
  • (7) Remaniement du
  • (8) Remaniement du
  • (9) Remaniement du
  • (10) Modification du
  • (11) Remaniement du
  • (12) Modification du
( BARRE II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (MAUROY I )
v · m
Ministres
Secrétaires d'État
v · m
Ministère de l'Écologie sous la Ve République
v · m
Conseil régional de Basse-Normandie
(1974-2015)
Conseil régional de Haute-Normandie
(1974-2015)
Conseil régional de Normandie
(depuis 2016)
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